Lauréates du challenge de ventes Salaün Holidays du printemps, 9 conseillères de voyage issues de toute la France ont embarqué fin juin à bord d'un B777-200 d'Air France pour une destination rare en éductour, le Japon. A la clé, un enthousiasme unanime.

A l'accueil de l'aéroport international d'Osaka, Tsutomu Matsumura, senior manager du tourisme du San'In, région emblématique du Japon traditionnel et authentique. « Beaucoup de Français connaissent surtout les métropoles de Tokyo ou Kyoto, vous vous allez découvrir le vrai Japon ! » Promesse tenue haut la main pour Sylvie de Pont-Audemer (Eure), Roxane d'Angers (Maine-et-Loire), Aurélie de Bressuire (Deux-Sèvres), Séverine de Besançon (Doubs), Mélanie du Cannet (Alpes-Maritimes), Stéphanie de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), Sophie de Lannion (Côtes d'Armor), Céline des Herbiers (Vendée) et Caroline d'Obernai (Bas-Rhin), accompagnées des animateurs Salaün de l'opération, Sabrina Jestin, coordinatrice des ventes agences, et Philippe Marquenet, directeur des ventes.

Cœur de la culture du pays du soleil levant, les régions de Tottori et Shimane, au sud ouest de l'île principale nipponne Honshu (Hondo), se sont étonnement retrouvées durant des décennies à l'écart des grands flux touristiques. Et du coup, ont gardé leur âme. Un plan de découverte a été lancé en 2016 en redonnant aux deux entités leur nom historique commun de San'In avec le développement de vols intérieurs au départ de Tokyo (1h15) et de liaisons cars et trains depuis Osaka (1h30 à 2h). Ce programme commence à porter ses fruits avec un début d'augmentation de visiteurs mais la venue du groupe Salaün n'est pas passée inaperçue.

NHK, la grande chaîne de télévision publique, a dépêché une équipe pour recueillir les impressions des visiteuses et diffuser un reportage dans son 20H. Le soir même, des signes d'amitié et des invitations sont arrivés de partout tandis que des télés locales et la presse écrite se mettaient dans les pas des visiteuses durant deux jours.

Un dépaysement surprenant

Philippe Marquenet avait prévenu la troupe : « on dit que le Japon est l'extrême-Orient, mais vous le verrez, c'est en fait l'extrême-Occident, avec en plus les charmes de l'Orient. » Pas un papier par terre, une circulation respectueuse de la signalisation, les klaxons interdits, les toilettes électroniques qui vous chauffent la lunette, une gastronomie fine proche de la dinette d'enfance... et une cordialité, une politesse, une sécurité et un respect qui font se demander si la France au loin a atteint la civilisation de l'humain. Et ce San'In y ajoute une impressionnante collection de monuments et sites désignés Trésors Culturels du Japon et classés par l'Unesco. Du château blanc de Himeji à celui sombre de Matsue et ses douves navigables en passant par les dunes et le musée de sable de Tottori ; du musée d'art Adachi et ses jardins, élus plus beaux du Japon (c'est dire !) au grand sanctuaire Shinto d'Izumo en passant par les onsen, sources d'eaux chaudes où l'on se baigne nu, chaque sexe de son côté... l'émerveillement est permanent.

L'émotion aussi dès que l'on pousse quelques kilomètres plus loin jusqu'à la région de San'Yo et sa capitale Hiroshima. Le mémorial de la bombe atomique d'août 1945 saisit le visiteur face à cette abomination... mais tout de suite, le regard souriant d'un autochtone ramène au concret d'un accueil inimaginable : « Aligado. Merci d'être venu voir notre pays et revenez avec ceux que vous aimez. » Tout le groupe Salaün s'y est engagé par bonheur anticipé de faire partager ces moments inoubliables.

Photo de groupe sur l'île de Miyajima, célèbre pour son Torii, arche Shinto en mer, et ses cervidés vivant au milieu des habitants.

Sabrina Jestin dans l'objectif des caméras de la NHK.

Jardin du musée d'art Adachi.

Incontournable séance en kimonos pour le groupe autour de Philippe Marquenet.

Accueil et sourire à la japonaise.

 

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